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29 janvier 2015 4 29 /01 /janvier /2015 22:39
US Wissous Tennis : Galette des rois dimanche 1er février 2015 14h

Cliquez ici : http://www.club3.fft.fr/us-wissous/galette.htm

Au cours de cet événement, nous honorerons la mémoire de Maxime, décédé le 24 octobre dernier, en organisant une collecte de dons pour l'association "Tête en l'air" qui accompagne les familles dont l'enfant a été opéré et suivi en Neurochirurgie.

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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 08:30

Cliquez ici pour télécharger l'ordre du jour du conseil municipal du 2 février 2015

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26 janvier 2015 1 26 /01 /janvier /2015 08:17
Annulés après l'attentat, les voeux du maire de Wissous à la population sont reprogrammés ce lundi soir

Les vœux de Monsieur le Maire à la population auront lieu le lundi 26 janvier 2015 à 19h A l’Espace A. de Saint-Exupéry - Place Iametti - 91320 Wissous

450 participants dont la conseillère régionale Véronique Carantois, les maires de Savigny sur Orge, conseiller général et vice président de la CALPE Eric Mehlhorn et de Villeneuve le Roi Didier Gonzales ainsi qu'une élue de Morangis et conseillère communautaire de la CALPE

Annulés après l'attentat, les voeux du maire de Wissous à la population sont reprogrammés ce lundi soir
Annulés après l'attentat, les voeux du maire de Wissous à la population sont reprogrammés ce lundi soir
Annulés après l'attentat, les voeux du maire de Wissous à la population sont reprogrammés ce lundi soir
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23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 12:22

Cliquez ici pour télécharger la gazette de Wissous de janvier 2015

Le plateau de Saclay ne se mariera pas avec les Yvelines (le Parisien 91 23 janvier)

La future super intercommunalité à 800 000 habitants, à cheval sur les départements de l'Essonne et des Yvelines, avait été unanimement rejetée par tous les élus concernés. Ils ont eu gain de cause. Hier, lors d'une réunion de la CRCI, la fin de cette entité de Massy à Versailles a été actée. Côté Essonne, la fusion se fera entre Europ'Essonne (Massy, Longjumeau,...) et la communauté du Plateau de Saclay (CAPS) au 1er janvier 2016 (69 pour et 2 abstentions) : Verrières-le-Buisson et Wissous, ainsi que d'autres villes voisines, pourront également intégrer ce périmètre.

Prochain conseil municipal lundi 2 février 19h30

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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 19:05

Jacques Toubon condamne, jeudi, l'attitude du maire de Champlan. Ce dernier est accusé d'avoir refusé d'enterrer l'enfant dans le cimetère de sa ville, fin décembre, ce qu'il nie

Près d'un mois après la polémique sur l'inhumation d'un bébé rom à Champlan (Essonne), le Défenseur des droits, Jacques Toubon, se prononce. Dans une décision transmise à l'AFP, jeudi 22 janvier, il a estimé que le maire avait donné une consigne illégale et discriminatoire à ses services. L'édile est accusé d'avoir refusé d'enterrer un bébé rom dans le cimetière de sa ville, fin décembre. Refus qu'il nie.

La famille de la fillette, victime de la mort subite du nourrisson à deux mois, avait sollicité Christian Leclerc (divers droite) pour inhumer l'enfant à Champlan, où elle est installée dans un bidonville depuis plus d'un an. Mais selon l'Association de solidarité en Essonne avec les familles roumaines et roms, elle avait essuyé un refus.

Selon la loi, les maires ne peuvent s'opposer à l'inhumation du défunt dans la commune où il habitait, dans celle où il est mort, ou là où se trouve un caveau familial.

"On privilégie Corbeil"

Entendu par le Défenseur, qui s'était saisi de l'affaire, Christian Leclerc a expliqué avoir donné par téléphone la consigne suivante à ses agents : "On privilégie Corbeil", ville où l'enfant est décédé, "on attend une réponse de Corbeil et si Corbeil ne veut pas, on enterre à Champlan".

Le Défenseur des droits considère cette consigne comme un "refus illégal", qui revient "à subordonner l'acceptation de la demande légitime de la famille à un refus du maire de Corbeil, qui aurait été illégal". Il estime aussi que le refus du maire repose "sur des motifs de discriminations". A l'époque, le maire avait aussi justifié son refus par "le peu de places disponibles" et la "priorité donnée à ceux qui paient leurs impôts locaux". Des propos rapportés qu'il n'avait pas niés, mais qu'il avait estimés "sortis de leur contexte", par le quotidien Le Parisien.

Sur le plan judiciaire, l'enquête préliminaire ouverte pour discrimination "devrait être transmise prochainement au parquet" d'Evry, a indiqué le procureur de la République.

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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 14:29

Quels sont les biens qui coûtent de plus en plus cher ? Quels sont ceux dont, plus ou moins perceptiblement pour les consommateurs, les prix baissent ? L'UFC-Que choisir a examiné dans une étude diffusée, mercredi 21 janvier, l'évolution des tarifs de biens de consommation courante depuis trente ans. L'association a comparé les variations de prix à celles des salaires nets moyens annuels en France entre 1984 (12 255 euros) et 2014 (26 267 euros), pour déterminer le temps de travail nécessaire pour acquérir certains produits.

L'eau, indispensable, a considérablement augmenté depuis 1984 : alors que la facture d'eau annuelle pesait dix-sept heures de travail il y a trente ans, c'est aujourd'hui trente et une heures, pas loin du double. Il en va de même pour les logements parisiens, qui, à surfaces égales (76 m2), nécessitent aujourd'hui de travailler dix ans de plus qu'en 1984 (23,5 années, contre 13,3). Hors de la capitale également, l'accès au logement a considérablement augmenté : le coût d'une maison pesait 5,1 années de salaire en 1984, contre 9,7 aujourd'hui

Réunion publique ce 22 janvier 20h à l'école H Barbusse en face de la mairie d'Arcueil avec C Métairie, A Le Strat, M Laimé et JL Touly : une gestion publique est plus intéressante pour les usagers qu'une gestion privée

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 20:05
8 février 14h : Une course pour la vie : Rendez-vous dimanche Paris Kart Indoor de Wissous avec pleins de stars

A l'initiative du jeune chanteur, Grégory Bakian, ancien champion de karting qui a évolué à un haut niveau de compétition entre 2001 et 2004, plus de 40 personnalités, Michèle Bernier, Luis Fernandez, Vincent Parisi, Flora Coquerel, Grégory Bakian, Laury Thilleman, Bruno Robles, Gérard Holtz, Henri Leconte, Hassan N’Dam, Muriel Hurtis, Amaury Leveaux, Stéphane Richelmi, Benjamin Lariche, Philippe Streiff, Laura Flessel, Jessy Matador, Maxime Van Laer, Lord Kossity, Cindy Fabre, Chloé Deher, Farid Khider, Muratt Atik, Lucie Décosse, Gwladys Epangue, Anthony Joubert, Mickaël Illes, Jr O Crom, Zaho, Gage, Moussier Tombola, Mohamed Le Suédois, et bien d’autres, enfileront les gants et prendront le volant, dimanche 8 février 2015, à 14h, sur la piste du Paris Kart Indoor de Wissous, au profit de l'Association Meghanora, présidée par Martine Boukobza, qui lutte contre les tumeurs rénales de l’enfant et de l’adolescent.

Un spectacle à ne pas manquer, animé par Jean-Pierre Paoli, speaker officiel de l'Équipe de France de Football.

Une animation musicale suivra la Remise des Prix, avec aux platines, le DJ international Benjamin Franklin, les artistes, Zaho, Grégory Bakian, Moussier Tombola, Lord Kossity, Gage, les sublimes modèles du Pink Paradise et de nombreux invités surprises…

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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 11:35
WISSOUS 11 JANVIER 2015 : RASSEMBLEMENT ET MARCHE EN HOMMAGE AUX VICTIMES DES ATTENTATS
WISSOUS 11 JANVIER 2015 : RASSEMBLEMENT ET MARCHE EN HOMMAGE AUX VICTIMES DES ATTENTATS
WISSOUS 11 JANVIER 2015 : RASSEMBLEMENT ET MARCHE EN HOMMAGE AUX VICTIMES DES ATTENTATS
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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 23:31

Grand Paris – Découvrez l’hebdomadaire

A l’occasion de l’examen du projet de loi NOTRe au Sénat, sera présenté un amendement gouvernemental modifiant les contours de la métropole du Grand Paris. Un texte qui, au grand dam des acteurs locaux, ne donne pas aux « territoires » du super-ensemble le statut d’EPCI et une fiscalité propre après 2020.

Le compte n’y est pas pour les collectivités de l’agglomération-capitale. Lors du bureau de Paris Métropole, le 14 janvier, puis, à l’occasion du comité de pilotage du conseil des élus de la métropole du Grand Paris (MGP), deux jours plus tard, leurs représentants ont exprimé une sourde grogne.

Principal motif de leur morosité : l’amendement gouvernemental modifiant les contours du super-ensemble urbain, à l’occasion de l’examen du projet de loi NOTRe, en première lecture au Sénat. Contrairement à leurs attentes, l’exécutif n’a pas donné le statut d’EPCI et une fiscalité propre aux « territoires » de la MGP.

Cependant, les élus veulent éviter de braquer le gouvernement dont le texte, révisant à la baisse les pouvoirs de la métropole, révisant en partie de la métropole. Ils recherchent un consensus à la chambre haute. Objectif : éviter qu’à l’Assemblée, des députés socialistes soient tentés de rétablir la métropole dans la version originelle de l’article 12 de la loi MAPTAM du 27 janvier 2014. Aussi, plutôt que de déposer des amendements propres, les sénateurs de Paris et de la petite couronne comme Jean-Pierre Caffet (PS), Luc Carvounas (PS), Roger Karoutchi (UMP), Hervé Marseille (UDI) et Jean-Vincent Placé (EELV) devraient présenter plusieurs, voire un sous-amendement réorientant, en douceur, le texte gouvernemental. Le débat, en séance, devrait se dérouler le 20 janvier. En attendant, les acteurs locaux multiplient doléances. Revue de détails.

Des territoires réduits au statut de syndicat

C’est la surprise du chef : contrairement au vœu du conseil des élus de la mission de préfiguration de la MGP du 8 octobre dernier et, contrairement, surtout, à ce que l’exécutif laissait transparaître ces dernières semaines, les territoires n’obtiennent pas le statut d’EPCI dans le texte gouvernemental. Ils sont réduits au rang de syndicat.

Un choix qui emporte de fâcheuses conséquences, selon Patrice Girot, président de la section Ile-de-France du syndicat national des directeurs généraux des collectivités territoriales (SNDGCT) et son homologue de l’Association des directeurs généraux des communautés de France (ADGCF), Antoine Valbon. Dans un document transmis à La Gazette, tous deux dénoncent la mise en place de « syndicats de gestion » pour porter « des intercommunalités de projet ». « Cherchez l’erreur », ironise le tandem.

Selon les deux acolytes, le cadre syndical, taillé pour des missions spécialisées, ne correspond absolument pas aux profils, ultra-variés, des agents présents dans les EPCI actuels appelés à devenir des établissements publics territoriaux (EPT). Le SNDGCT et l’ADGCF n’entendent pas se contenter d’un décret portant uniquement sur les emplois fonctionnels, comme on l’envisage du côté de la mission de préfiguration de la MGP. A leurs yeux, ce texte doit fixer le cadre statutaire de l’ensemble des agents appelés à œuvrer dans les territoires. En clair : ils souhaitent qu’« on institue pour ces nouvelles structures juridiques, les mêmes strates démographiques que celles relatives aux communes et aux EPCI ».

Les communes dépossédées de leurs outils d’urbanisme

Philippe Laurent, secrétaire général de l’Association des maires de France et premier magistrat (UDI) de Sceaux (Hauts-de-Seine), goûte fort peu le volet « Logement » et « Aménagement » de l’amendement gouvernemental. A son grand dam, les zones d’aménagement concerté, les plans locaux d’urbanisme et les offices HLM sont, en effet, transférés des communes vers les territoires. Des minorités de blocage sont, certes, prévus pour empêcher ce mouvement. Mais Philippe Laurent n’en démord pas : le processus est trop rapide. « Le Grand Lyon a mis près de 50 ans à prendre son envol », rappelle-t-il volontiers.

Une fiscalité uniquement transitoire pour les territoires

Contrairement, là encore, à la demande du conseil des élus de la mission de préfiguration de la MGP, la cotisation foncière des entreprises (CFE) n’est accordée aux territoires qu’entre 2014 et 2020. Un non-sens pour le SNDGCT et l’ADGCF. « Au vu des compétences, des missions et de la structure organisationnelle des EPT, la dotation est-elle vraiment l’outil pérenne ? », jugent les territoriaux. Pour Philippe Laurent, ce dispositif, qui porterait la griffe de la ministre de la Décentralisation, Marylise Lebranchu, inverse les priorités des élus. Là, où ceux-ci prônaient une clause de revoyure sur la CFE des territoires, le gouvernement impose une phase transitoire avant un transfert définitif à la métropole. Le premier vice-président de Paris Métropole, Daniel Guiraud (PS) ne situe pas sur cette ligne. Selon lui, le calendrier gouvernemental permettra une harmonisation progressive des taux de CFE. Il préfère, à rebours de nombre de ses collègues, voir dans l’amendement gouvernemental « un verre à moitié plein ».

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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 12:50

COMMUNIQUE

Parce que l'eau n'est pas une marchandise : c'est un bien commun,

Parce que l'accès à l'eau est aujourd'hui un droit applicable,

Parce qu'il faut assurer à chacun la gratuité nécessaire à la vie,

Parce que la régie publique génère une baisse de 25 % de la facture et maintient le renouvellement à 1 % des équipements chaque année,


Pour toutes ces bonnes raisons qui nous poussent vers une sortie effective du

Syndicat des Eaux Île de France (Sédif) dans les mois à venir,


L' UFAL Val de Bièvre et la COORDINATION EAU Île de France

vous invitent

à ouvrir le débat sur une gestion publique, démocratique et transparente de l'eau

pour les 7 villes de notre Communauté d'agglomération du Val de Bièvre


le JEUDI 22 JANVIER à 20H


avec la participation de

Sylvie Altman maire de Villeneuve Saint-Georges, conseillère régionale et élue « porteur d'eau »,

Christian Métairiemaire adjoint d'Arcueil délégué au Sédif,

Anne Le Stratfondatrice d'Eau de Paris régie publique,

Jean-Luc Touly responsable eau de la Fondation Danielle Mitterrand,

Marc Laimé journaliste...


Lieu : Ecole Henri Barbusse - 15 avenue Paul Doumer à Arcueil (entrée face à la mairie)
RER B station Laplace à 3 mn – BUS 323 arrêt mairie d'Arcueil - Velib’ et Autolib’
stationnement : parking de la mairie

Un espace librairie spécial « eau régie publique » sera mis à votre disposition
Nous terminerons par un pot


Contact

Marie-Isabelle Heck - Coordination Eau Île de France – 06 87 14 38 39

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