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30 mai 2017 2 30 /05 /mai /2017 18:24

L'association Front républicain d'intervention contre la corruption (FRICC), en présence de ses 2 responsables, Eric Darques et Jean Luc Touly, a annoncé mardi lors d'une conférence de presse son intention de déposer une plainte en début de semaine prochaine auprès du procureur de Brest, pour délit d'entrave aux fonctions de commissaire aux comptes. Elle estime que les Mutuelles de Bretagne et leur directeur de l'époque Richard Ferrand auraient dû faire valider le montage immobilier permettant à la SCI de sa compagne de louer un local au réseau mutualiste par les commissaire aux comptes, ce qui n'a pas été le cas.

"Cette plainte a pour objet d'imposer la lumière sur une affaire moralement répréhensible et qui relève aussi probablement du pénal", a souligné à l'AFP son avocat, Me Joseph Breham.

Le Monde affirme que M. Ferrand, directeur général des Mutuelles de Bretagne de 1998 à 2012, "a fait bénéficier de plusieurs contrats des proches, dont son ex-femme et sa compagne".

"Député socialiste, il a déposé une proposition de loi favorisant les intérêts du monde mutualiste alors qu'il était toujours rémunéré par celui-ci. Il a embauché comme assistant parlementaire, sans le signaler, le compagnon (Hervé Clabon, ndlr) de celle qui lui a succédé à la tête des Mutuelles de Bretagne", écrit encore le quotidien.

http://www.europe1.fr/politique/richard-ferrand-refute-et-condamne-tous-les-soupcons-de-larticle-du-monde-3346235

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30 mai 2017 2 30 /05 /mai /2017 08:35

Comme 18 autres eurodéputés français, la ministre chargée des Affaires européennes Marielle de Sarnez, proche de Bayrou, est visée par une enquête pour abus de confiance, selon Le Parisien. Cette enquête a été ouverte le 22 mars suite à une lettre de dénonciation de l'eurodéputée frontiste Sophie Montel. Comme le Front National, ces 19 eurodéputés sont soupçonnés d'avoir fait usage d'emplois fictifs d'assistants parlementaires au Parlement européen pour, notamment, alléger les frais de leurs partis.

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29 mai 2017 1 29 /05 /mai /2017 15:27

16 candidats (le député PS sortant a changé de circonscription dans le Nord) dont Amélie de Montchalin pour la République en marche

Amélie de Montchalin : diplômée HEC

Economiste chez Exane BNP Paribas

Cadre supérieur chez AXA - bras droit du directeur de la stratégie

Collaboratrice parlementaire de Valérie Pécresse février 2007/mai 2007

Attachée au cabinet de la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche Valérie Pécresse mai 2007/juin 2007

Référent en marche à Wissous pour l'élection législative 2017 : R Roy Chevalier ancien maire PS de Wissous 2008-2014 qui a vu sa délibération de mars 2011 fixant les indemnités des élus de sa majorité de Wissous annulée par le Tribunal Administratif de Versailles en juin 2014 (jugement définitif) confirmant les termes de la lettre du Préfet de l'Essonne : le montant total des indemnités de d'avril 2011 à mars 2014 soit environ 280 000 euros a été mis en recouvrement par la nouvelle municipalité

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29 mai 2017 1 29 /05 /mai /2017 14:59
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29 mai 2017 1 29 /05 /mai /2017 12:50

http://www.leparisien.fr/politique/affaire-ferrand-le-temoin-et-le-document-qui-sement-le-trouble-29-05-2017-6993030.php

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/legislatives-2017/20170529.OBS9984/affaire-ferrand-la-charge-embarrassante-de-l-avocat.html

 

Notre journal a retrouvé l'avocat à l'origine de l'opération immobilière concernant la compagne de Richard Ferrand, alors directeur général des Mutuelles de Bretagne. Aujourd'hui à la retraite, Me Alain Castel, ancien bâtonnier de Brest, spécialisé dans les recouvrements de créances, dit avoir été «choqué» à l'époque par l'opération et dénonce un «enfumage» de la part de l'actuel ministre de la Cohésion des territoires. L'ancien bâtonnier apporte des éléments nouveaux, notamment le fait que la promesse de vente du bien incriminé a été signée par Richard Ferrand et comportait une condition suspensive, liée à un bail à venir des Mutuelles de Bretagne et à la composition d'une SCI.

La suite est celle révélée par «le Canard enchaîné» la semaine dernière : au moment de la vente définitive, le bail était conclu avec les mutuelles dirigées par Richard Ferrand et la SCI était celle de sa compagne. Selon l'actuelle directrice des Mutuelles de Bretagne, Joëlle Salaun, jointe dimanche, il n'y avait pas de problème car il n'existe pas de «lien juridique ou patrimonial» entre Richard Ferrand et sa compagne à la tête de la SCI. Pour les mutuelles elles-mêmes, qui ont livré un communiqué la semaine passée, «le conseil d'administration a eu raison de faire ce choix et de le confirmer».

Le compromis de vente de l’immeuble, datant du 23 décembre 2010, signé de la main de Richard Ferrand, parle d’une «condition suspensive de conclusion d’un bail commercial entre la SCI devant substituer M. Ferrand et les Mutuelles de Bretagne».

Comment vous retrouvez-vous dans cette opération immobilière ?
Me Alain Castel.Je suis un spécialiste de voie d'exécution, en clair de recouvrement de créances. En 2010, un de mes clients a gagné aux prud'hommes contre un expert-comptable qui lui doit de l'argent. Il a ce qu'on appelle un titre exécutoire. Comme mon client n'est pas payé, je diligente une saisie immobilière des locaux professionnels de l'expert-comptable, les locaux actuels des Mutuelles de Bretagne, 2, rue George-Sand à Brest. Richard Ferrand a sans doute lu les publications de cette vente aux enchères dans le journal local et a contacté l'expert-comptable, en lui proposant une vente amiable. J'ai accepté cette vente car cela était plus rapide et plus avantageux en termes de prix qu'une adjudication. Le 23 décembre 2010, un compromis de vente est signé entre l'expert-comptable et Richard Ferrand en son nom propre, avec une condition suspensive : la conclusion d'un bail commercial avec une SCI devant substituer Richard Ferrand et les Mutuelles de Bretagne.

Pourquoi acceptez-vous ?
Cela arrangeait tout le monde, à commencer par mon client. Mais j'ai tout de suite compris la manoeuvre, et cela m'avait choqué à l'époque. Richard Ferrand allait louer l'immeuble à la mutuelle et il allait s'enrichir avec tous les travaux à la charge de celle-ci. Il faut appeler un chat un chat.

Oui, mais le bail proposé par la Saca, la SCI de sa compagne, était le moins cher parmi les autres propositions ?
La question, n'est pas là. Ça, c'est de l'enfumage ! La vraie question, c'est pourquoi Richard Ferrand n'a pas fait acheter l'immeuble par la mutuelle. C'était l'intérêt de celle-ci. Elle faisait un prêt, engageait des travaux et se retrouvait quinze ans plus tard propriétaire d'un bien largement fructifié. Or là, c'est la compagne de Richard Ferrand qui se retrouve dans cette position. C'est un schéma moins éthique.

Cette opération a néanmoins été soumise au conseil d'administration...
«Le Canard enchaîné» dit que le 25 janvier 2011, lors du conseil d'administration de la mutuelle, il n'a pas été mentionné sur le procès-verbal de la réunion que la compagne de Richard Ferrand serait la gérante de la Saca. Est-ce que cela veut dire que Richard Ferrand a cherché à masquer que sa compagne allait piloter la SCI ? Vous savez, il y a un Code de la mutualité. Selon son article L. 114-32, toute convention à laquelle «un administrateur ou un dirigeant opérationnel est indirectement intéressé ou dans laquelle il traite avec la mutuelle, union ou fédération, par personne interposée est soumise à l'autorisation préalable du conseil d'administration». En clair, en cas de risque de conflit d'intérêts, ces conventions doivent être soumises à un commissaire aux comptes qui rédige un rapport spécial transmis ensuite à l'assemblée générale de la mutuelle, qui statue.

Y a-t-il eu un rapport spécial ?
C'est à Richard Ferrand de répondre, et peut-être au parquet de Brest. S'il y en a eu un, il n'y a plus d'affaire Ferrand. Sinon, la justice doit examiner l'affaire de plus près. L'obstacle aux fonctions de commissaire aux comptes est un délit passible de cinq ans de prison et de 75 000 € d'amende. C'est l'article L. 114-51 du Code de la mutualité. Dans le cas précis, le délit d'obstacle au commissaire au compte est-il caractérisé ? Si oui, les faits sont-ils prescrits ou pas ? Ni vous ni moi ne pourrons le déterminer, c'est à la justice de le faire.

 

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28 mai 2017 7 28 /05 /mai /2017 11:38

 L'opinion du 9 mai 2017 :

En 2014, Corinne Lepage publiait Les mains propres, un ouvrage dans lequel elle révélait que pendant cinq ans la secrétaire particulière de François Bayrou avait été payée par l’enveloppe parlementaire de Marielle de Sarnez. « Personne n’a dit à l’époque que j’avais tort, nous sommes aujourd’hui avec François Bayrou dans la même équipe donc je n’ai aucune raison de l’attaquer », déclare l’avocate. « En général, quand je dis quelque chose, je le dis parce que c’est la vérité », ajoute-t-elle. « Ceci étant, c’était dans un ensemble plus large dans lequel je décrivais le système Le Pen », indique Corinne Lepage sur le sujet.

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28 mai 2017 7 28 /05 /mai /2017 10:56
Les manifestants ont creusé un "S.O.S" dans le sable de la plage de La Baule.

" Rien sans nous, rien contre nous ! " Le slogan de la manifestation des établissements de la plage de La Baule samedi après-midi a fonctionné. Des centaines de personnes se sont retrouvés pour dire "non" à la gestion de la plage par l'entreprise privée Véolia.

Du soleil, de la musique, un goûter les pieds dans le sable. La manifestation est festive mais le mot d'ordre du jour l'est bien moins: "S.O.S". La trentaine d'établissements de plage de La Baule ont lancé un appel à l'aide depuis la plage ce samedi après-midi.

Mi-décembre, la préfecture de la Loire-Atlantique a signé un contrat cédant à Véolia pendant 12 ans la concession de la plage de La Baule où se trouvent 35 établissements (restaurants, clubs de loisirs, écoles de voile). L’entreprise aura pour mission de rénover les accès, entretenir la plage et assurer la gestion des établissements. Cette décision fait suite à l'application du "décret plage" de 2006. Il précise que 80% de la surface d'une plage naturelle doit rester vierge de toute installation. Jugeant trop complexe l'application du décret, le maire a laissé le dossier à Véolia.

Pour les établissements de plage, c'est une forme de privatisation qui met en péril leur activité. "Les redevances risquent d'être multipliées par deux!" s'inquiète Loïc Durand-Raucher, le président de l'association des établissements de plage.

Cette plage est familiale et elle doit le rester, je ne veux pas de Véolia ici ! Marc, Baulois, depuis 20 ans

La manifestation attire du monde, des commerçants, des Baulois mais aussi des touristes intrigués par le forte musique. Marc, vit ici depuis 20 ans, il est venu montrer son soutien: "Je suis là pour contrecarrer Véolia et que la plage reste à la ville de la Baule. Cette plage est familiale et elle doit le rester, je ne veux pas de Véolia ici," explique t-il. "Çà m'inquiète, cela peut être négatif pour l'image de La Baule," poursuit Marc.

Dans la foule, Pierre Ménès, le journaliste sportif, Baulois d'adoption, n'a pas voulu manquer la mobilisation. " Il va y avoir des transats jusqu'à la mer, ça n'a pas de sens ! Même si il y a un droit de passage, c'est une forme de privatisation c'est insupportable."

Reprise en main du dossier par la mairie

Face au tollé, le maire de La Baule Yves Métaireau (LR) joue la carte de l’apaisement. Il propose de créer une société d’économie mixte locale. " La ville participerait aux dépenses de gestion et d’investissement et réserverait à Veolia une part d’activité dans laquelle souhaite s’investir", précise le communiqué du maire. Une décision plutôt bien accueillie par les commerçants, mais tous restent très attentifs.

 
 
Zone contenant les pièces jointes
 
 
 
 
 
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27 mai 2017 6 27 /05 /mai /2017 17:49

"La nomination d'une représentante de la filière alcool inquiète sur les conflits d'intérêts (...) au détriment de la santé publique", écrivent 11 personnalités.

 Audrey Bourolleau est toujours inscrite comme déléguée générale depuis 2012 de Vin & Société, qui "représente les 500 000 hommes et femmes de la filière vin (négoce, viticulteurs...) en étant l'interlocuteur unique des pouvoirs publics sur tous les sujets de société touchant au vin pour la santé, la prévention, la société, ou l'art de vivre". Et ambitionne d'être "leader d'opinion" sur le sujet. Bref, du pur lobbying en faveur des industriels du vin. 

En vérité, Audrey Bourolleau a démissionné de l'association lorsqu'elle a été nommée au poste de conseillère agriculture d'Emmanuel Macron. Mais le rapprochement choque des professionnels de la santé, notamment ceux qui luttent contre l'alcoolisme. 

"Moraliser" le choix des conseillers

"La nomination d'une représentante de la filière alcool ne manque pas d'inquiéter sur les conflits d'intérêts qui pourraient survenir au détriment de la santé publique", écrivent onze associations d'addictologues et six experts en santé, dans un communiqué publié sur internet. "Pour les acteurs de la santé publique, le risque est que la politique agricole et viticole se fasse au détriment d'une politique efficace de lutte contre les consommations nocives d'alcool." 

Rappelant la volonté affichée par Emmanuel Macron de moraliser la vie publique, ces associations et experts invitent le président "à appliquer cette politique dans le choix de ses conseillers". Ils rappellent que les coûts pour la société de la consommation excessive d'alcool, "deuxième cause de mortalité évitable après le tabac" sont "considérables". "La taxation sur les alcools, qui rapporte environ 3,2 milliards d'euros par an, ne représente que 37% des soins (7,7 milliards)". 

"La filière vin entretient la confusion"

Ces experts soulignent également qu'en 2016 la Cour des comptes avait relevé que la filière vin entretenait "la confusion en finançant ses propres études pour attester de la non-dangerosité de l'alcool consommé avec modération". Et ils critiquent aussi la présence au Parlement de l'Association nationale des élus de la vigne et du vin (Anev) et des groupes Viticulture, vigne et vin et Filière brassicole. 

Les signataires regroupent notamment la Fédération française d'addictologie, l'Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie et le Collège professionnel des acteurs de l'addictologie hospitalière, ainsi que les experts Gérard Dubois, Irène Frachon, Claude Got, Serge Hercberg, Catherine Hill et Albert Hirsch. 

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27 mai 2017 6 27 /05 /mai /2017 11:19

Et n'hésitez pas à découvrir notre tout nouveau site internet : http://marinesmile.com/ Vous y trouverez toutes les infos sur nos actions, nos projets, nos évènements... des photos, des vidéos...  Grâce à vous, les travaux avancent à l'orphelinat YAPPENATIM et les enfants ont le sourire ! Très cordialement. Patricia et Jean-Marc BUFFAT & la Famille Pirate
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27 mai 2017 6 27 /05 /mai /2017 10:56

La politique autrement avec des candidats compétents et des référents par commune respectant l'éthique et sans casier judiciaire avec des propositions locales et pas simplement des généralités nationales provenant des mouvements politiques issus de la présidentielle

Des candidats exemplaire ne venant pas uniquement une fois tous les 6 ans pour être élu et utilisant dans leur fonction un conjoint, un enfant ou un proche comme assistant parlementaire

6 communes 125 000 habitants Massy Palaiseau Chilly Mazarin Morangis Igny et Wissous

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