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1 décembre 2016 4 01 /12 /décembre /2016 13:39
La ministre de l'Ecologie souhaiterait prendre la tête du Programme des Nations Unies pour le Développement, encouragée par la diplomatie française. Mais l'ONU n'y semble pas très favorable.
 
La France souhaiterait que Ségolène Royal rejoigne le Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud), selon une information du Figaro.
 
Le Pnud est l'un des principaux organismes de l'ONU, et cherche à aider les pays en voie de développement grâce, notamment, à la gestion des ressources et au développement durable, et à la réduction des maladies.
 
Le Quai d'Orsay a confirmé l'information au Figaro. L'idée serait de nommer des Français à des postes à responsabilités à l'ONU, afin qu'ils puissent "peser dans les affaires internationales". Mais l'ONU ne serait pas favorable à la nomination de Ségolène Royal. Selon un diplomate, la France contribuerait "assez peu au budget du Pnud".
 
L'ex-patron de la CGT, acculé à la démission en janvier 2015, vient d'être chargé par le premier ministre de la mise en œuvre opérationnelle d'une nouvelle agence chargée de la promotion de la langue française et de la lutte contre l'illettrisme, dont il devrait prendre ensuite la tête
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1 décembre 2016 4 01 /12 /décembre /2016 09:40

Lettre A 1er décembre 2016 : Grand Paris de l'eau : Tout baigne entre André Santini et Anne Hidalgo; jeu de chaises musicales au sein de Veolia Eau France; Veolia Eau Roumanie refait surface au Parquet Financier de Paris
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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 08:56
Paris, FRANCE | AFP | 28/11/2016 19:49 
 
 

Le patron de l'activité Eau France de Veolia, Alain Franchi, quittera le groupe fin 2016, selon une lettre envoyée lundi aux salariés par le PDG Antoine Frérot, quelques jours après la mise à pied de deux cadres de cette branche soupçonnés de conflit d'intérêt.

 

Le groupe va porter plainte contre X et les deux cadres de la branche Eau France qui étaient devenus actionnaires d'une petite société ayant obtenu un important contrat du groupe français ont fait l'objet "d'une convocation à entretien préalable de licenciement", selon ce courrier du PDG de Veolia que l'AFP a pu consulter.

 

Le groupe a confirmé ses informations, précisant qu'il ne s'agissait pas formellement d'un licenciement puisque le contrat du directeur général Eau France devait s'achever au 31 décembre 2016 et qu'il n'a donc pas été renouvelé.

 

Il sera remplacé par l'actuel directeur des activités en Italie, Frédéric Van Heems.

 

Jeudi dernier, deux hauts cadres de l'activité Eau de Veolia en France ont été mis à pied après la découverte qu'ils étaient devenus en 2015 actionnaires d'une société, Olky Payment Service Provider, alors qu'elle avait signé en 2014 un contrat de plusieurs millions d'euros avec Veolia pour la gestion d'une partie de sa facturation. 

 

Philippe Malterre, numéro deux de la branche Eau France, et Jean-Philippe Franchi, cadre de cette même branche et beau-frère de son directeur général, font désormais l'objet d'une procédure de licenciement.

 

"Je tiens à vous assurer de ma totale détermination, ainsi que celle du groupe, à faire toute la lumière sur ces agissements, et c'est la raison pour laquelle nous avons également décidé de porter plainte contre X", écrit le PDG de Veolia dans ce courrier aux salariés.

 

Le syndicat FO Veolia Ile-de-France a aussi décidé de porter plainte contre X dans ce dossier. 

 

Cette affaire "n'a pas pu être ignorée du PDG de Veolia Environnement", a dit à l'AFP Jean-Luc Touly, son secrétaire général, qui craint un "impact négatif pour l'entreprise et ses salariés". 

 

FO Veolia Ile-de-France sera représenté dans ce dossier par l'ancienne juge et eurodéputée Eva Joly et par Joseph Breham, avocat du Front républicain d'intervention contre la corruption (FRICC).

 

Un ancien salarié de la société luxembourgeoise en question, "licencié pour faute grave" parce qu'il ne cautionnait pas les agissements dont il a été témoin et qui souhaitait initialement porter plainte lui-même, témoignera dans le cadre de cette plainte, a précisé M. Touly.

 

Alain Franchi, avait pris la tête de l'activité Eau France de Veolia en 2013, alors que ses performances étaient affaiblies par un contexte difficile de baisse des prix de l'eau et un marché plus concurrentiel.

 

En quatre ans, cette activité qui regroupe actuellement 13.000 salariés a connu trois plans de départs volontaires, dont le dernier, doit être mis en oeuvre à partir du 15 décembre.

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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 08:32

La Métropole européenne de Lille a été mise en examen pour favoritisme, le 15 novembre, par le juge Gentil. Un rebondissement de taille dans ce volumineux dossier portant sur l’attribution à Eiffage du marché de construction du stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d’Ascq

Coup de tonnerre dans l’affaire du Grand Stade de Villeneuve-d’Ascq : la MEL (Métropole européenne de Lille) a été mise en examen le 15 novembre, en tant que personne morale, par le juge Jean-Michel Gentil.

La décision du juge fait suite à la plainte pour favoritisme déposée par Éric Darques en avril 2012. Pour le fondateur du FRICC, une association anti-corruption, le choix du groupe Eiffage pour la construction du Grand Stade serait entaché d’irrégularités.

Tout tourne autour d’un rapport et du « lobbying » de deux élus. Le 1er février 2008, les élus choisissent le groupe Eiffage sur la base d’un document des services techniques. Or, un rapport identique avait été édité quelques jours auparavant, et classait cette fois Bouygues en tête. Que s’est-il passé ? Dans l’intervalle, Henri Ségard, président d’un groupe d’élus indépendants, a argumenté pour Eiffage, dont le projet est pourtant plus cher de 108 M€ que celui de Bouygues. Pour des motivations plus ou moins politiciennes, il a trouvé le soutien des autres présidents de groupe.

Vers un éventuel procès
Les deux rapports sont devenus depuis la pierre angulaire des plaintes d’Éric Darques pour faux et usage de faux, ainsi que pour favoritisme. Joseph Breham, son avocat, s’est contenté ce vendredi de se féliciter de cette nouvelle étape vers un éventuel procès. Il entend néanmoins que le juge Gentil aille plus loin : « Après les lampistes, il faut désormais que les corrompus et les corrupteurs soient inquiétés. »

Florence Rault, avocate de la MEL, minimise la portée de cette mise en examen. « C’est un non-événement. Cette mesure technique ne veut pas dire que les faits sont établis. Beaucoup de mises en examen se terminent par un non-lieu, une relaxe ou une mise hors de cause. » Sur le fond, l’avocate est peu diserte. « Avant de me prononcer, je vais d’abord éplucher le dossier. (…) Pour l’instant, je ne vois pas où la MEL a commis une infraction. » Florence Rault n’écarte pas la possibilité de contester la mise en examen, au cours du délai légal de six mois.

1er février 2008. Lors de la dernière séance de Pierre Mauroy en tant que président (notre photo), le conseil de LMCU (devenue la MEL) attribue au groupe Eiffage la construction du Grand Stade.

Fin 2008. Éric Darques dépose un recours au tribunal administratif contre la délibération qui valide le marché avec Eiffage, rejeté le 14 juin 2010.

6 janvier 2011. Éric Darques dépose une plainte pour faux en écriture publique. Elle est classée sans suite début 2012 avant d’être relancée en avril 2012.

Fin 2012. Ouverture d’une information judiciaire par la juge Fabienne Atzori.

11 août 2014. La juge Atzori déclare l’affaire prescrite. Éric Darques fait appel et ajoute à sa première plainte une autre pour favoritisme en novembre.

15 janvier 2015. La cour d’appel rejette la prescription décidée par la juge Atzori.

20 mai 2015. Mise en examen de deux fonctionnaires pour faux et placement sous le statut de témoin assisté de Michelle Demessine, ex-présidente de la commission Grand Stade.

Octobre 2015. Le juge Jean-Michel Gentil procède à des perquisitions au siège de la MEL et aux domiciles d’Henri Ségard, ancien président de groupe, et de Damien Castelain, président de la communauté urbaine

http://www.lavoixdunord.fr/80282/article/2016-11-25/apres-la-mise-en-examen-de-la-metropole-de-lille-il-y-des-gens-aux-manettes

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28 novembre 2016 1 28 /11 /novembre /2016 18:39

Cette scandaleuse affaire qui touche la direction générale de Veolia Eau Ile de France n'a pas pu être ignorée du PDG de Veolia Environnement, d'autant qu'une autre affaire avait été révélée en 2015 sur les étranges pratiques de Veolia en Roumanie à travers sa filiale Apa Nova où 2 cadres de haut niveau ont été mis en examen et inculpés dans une affaire de pots de vin à hauteur de 12 millions d'euros : cette affaire qui avait été classée sans suite vient d'être rapportée par le Procureur de la République Financier le 4 novembre dernier et que celui-ci a saisi l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales d'une enquête préliminaire portant sur les faits dénoncés. Toutes ces affaires auront probablement un impact négatif pour l'entreprise et ses salariés que nous représentons; de plus, tout cela se passe en même temps qu'un 3ème PDV Plan de Départs Volontaires qui va concerner plusieurs centaines de salariés. Tout cela est inadmissible et c'est pour cela que notre organisation syndicale porte plainte avec notre conseil, Me Eva Joly, afin de faire toute la lumière sur les responsabilités de nos dirigeants qui ne pouvaient ignorer ces faits d'une extrème gravité,

Pour FO Veolia Eau IdF

Jean Luc Touly

secrétaire général

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28 novembre 2016 1 28 /11 /novembre /2016 08:29

Le groupe de services aux collectivités Veolia a pris la décision en fin de semaine dernière de licencier Philippe Malterre, directeur général adjoint de l'eau pour la France, et Jean-Philippe Franchi, contrôleur de gestion de la même branche, rapporte le quotidien Les Echos lundi sans préciser ses sources. L'enquête déclenchée en interne dira si d'autres cadres seront sanctionnés, indique le quotidien. La semaine dernière, ces deux cadres avaient été mis à pied "à titre conservatoire" après la découverte qu'ils étaient devenus actionnaires d'une petite société à qui le groupe français avait auparavant attribué un important contrat, selon des informations de l'AFP, confirmant des faits révélés par Mediapart. Contacté par Dow Jones Newswires, Veolia n'était pas joignable dans l'immédiat pour commenter ces informations.
 

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27 novembre 2016 7 27 /11 /novembre /2016 23:43

Wissous 749 votants 747 exprimés Fillon 466 62.38%  Juppé 283 37.62%

France  4 391 981 votants + 2.18% par rapport au 1er tour (93 884 voix de plus) soit 9.8% des inscrits et 12% des exprimés environ

4 378 984 exprimés

Fillon 66.47% Juppé 33.53%

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27 novembre 2016 7 27 /11 /novembre /2016 23:36

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27 novembre 2016 7 27 /11 /novembre /2016 23:34

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26 novembre 2016 6 26 /11 /novembre /2016 20:09

De hauts dirigeants de Véolia semblent avoir monté une structure au Luxembourg pour vider la société d’une partie de son activité et de ses bénéfices, à leurs profits. En un mot, il s’agit d’une pure escroquerie envers les salariés et envers l’entreprise.

Au départ, certains cadres et hauts dirigeants de Véolia sont devenus actionnaires d’une toute petite société, Olky Payment, une quasi-coquille vide, basée au Luxembourg.

Cette entreprise a « miraculeusement » reçu la gestion pendant sept ans de la facturation de la plupart des services d’eau de Véolia en France. Les actionnaires de cette structure bénéficiaient ainsi de juteux profits, réalisés grâce au contrat signé avec Véolia : dès la première année du contrat, Olky Payment réalise 6 millions de bénéfices pour un chiffre d’affaire de 13 millions ! On peut qualifier cette pratique de détournement de bénéfices de Véolia au profit de certains cadres et hauts dirigeants.

Si cette affaire est confirmée, sa cause en est à l’évidence la cupidité de certains hauts dirigeants de multinationales qui ne servent plus leur entreprise mais se servent de leur position pour s’enrichir, quitte à monter une escroquerie au dépens de tous. Les sanctions contre de telles exactions doivent être d’une extrême sévérité.

Mais cette affaire est aussi un scandale de la financiarisation de la gestion des entreprises. Les gouvernements successifs ont laissé la finance, les produits et les montages financiers les plus absurdes, envahir les entreprises françaises au détriment de l’activité réelle. Les salariés de certaines grandes entreprises le savent : la finance a pris le pouvoir dans leur firme et s’oppose aux intérêts des salariés et de la société à moyen voire à court terme. L’Etat a tout le pouvoir pour encadrer strictement la finance, interdire les produits, techniques et montages financiers douteux afin d’en finir avec des pratiques qui affaiblissent voir ruinent certaines entreprises.

Le Front National est de tout cœur avec les salariés qui se sentent trahis. Au pouvoir, nous mettrons tout en œuvre pour en finir avec les profondes dérives du capitalisme financier.

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