Dès 2018
Dès 2018
Moment émouvant ce matin à l’angle de la rue Guillaume Bigourdan pour inaugurer en présence de Monsieur Le Maire, des élus, des représentants de l’APEPAW ainsi que la famille pour rendre hommage à l’Amiral Mouchez. Une plaque a été posée en mémoire de cet homme, qui avait décidé de jeté l’ancre à Wissous en 1870. Une belle cérémonie qui s’est terminée par un verre de l’amitié dans cette belle demeure où vive actuellement sa Famille.
Ernest Amédée Barthélemy Mouchez, né à Madrid le 24 août 1821 et mort à Wissous le 25 juin 1892, est unastronome, hydrographe et contre-amiral français, membre de l'Académie des sciences et directeur de l'Observatoire de Paris.
L’amiral avait jeté l’ancre à Wissous pour cartographier le ciel
Il voulait absolument habiter à la campagne. Ça changeait de la mer », raconte aujourd’hui un cousin des descendants d’Ernest Mouchez. Après avoir navigué sur tous les océans et mers du monde, l’Amiral Mouchez a jeté l’ancre à Wissous qui, au XIXe siècle, se trouvait encore au milieu des champs. Il y a séjourné jusqu’à sa mort, le 25 juin 1892. 124 ans plus tard, la ville et l’association pour l’environnement et le patrimoine de Wissous (APEPAW) ont décidé de lui rendre hommage en apposant ce samedi à 11 heures une plaque sur la maison de celui qui a marqué l’histoire de la France. (le Parisien)
« Il voulait absolument habiter à la campagne. Ça changeait de la mer », raconte aujourd'hui un cousin des descendants d'Ernest Mouchez. Après avoir navigué sur tous les océans et mers du monde, l'Amiral Mouchez a jeté l'ancre à Wissous qui, au XIXe siècle, se trouvait encore au milieu des champs. Il y a séjourné jusqu'à sa mort, le 25 juin 1892. Cent vingt-quatre ans plus tard, la ville et l'Association pour l'environnement et le patrimoine de Wissous (APEPAW) ont décidé de lui rendre hommage en apposant, ce matin à 11 heures, une plaque sur la maison de celui qui a marqué l'histoire de la France.
Né le 24 août 1821 à Madrid, Ernest Mouchez fait ses études en France. En 1837, il intègre l'Ecole navale et en sort deux ans plus tard. Commence alors pour lui une succession de croisières au cours desquelles il conçoit une lunette méridienne portative, après s'être aperçu de la « position très approximative des navires à l'époque », relate Jean-Claude Ciret, le président de l'APEPAW.
Il lance le projet de réaliser une carte du ciel
Très vite, il oriente sa carrière vers l'hydrographie. Lorsque la guerre de 1870 éclate, il est chargé, en Seine-Maritime de la défense du Havre et de Rouen. Reçu à l'Académie des sciences cinq ans plus tard, il prend la tête de l'Observatoire de Paris en 1878. En 1887, il lance le grand projet, à vocation internationale, de réaliser une carte du ciel.
Plusieurs années plus tôt, en 1870, quelques semaines avant la déclaration de guerre à la Prusse, Ernest Mouchez avait justement décidé d'acheter une maison à la campagne donc, mais surtout à proximité de Paris et de son observatoire. Il trouve cette demeure à Wissous. « Elle a été occupée par les Prussiens », précise le cousin. L'amiral ne la reprendra qu'en 1871. « Il y a fait installer un petit observatoire au dernier étage pour ses observations personnelles », fait savoir le président de l'APEPAW. « Il existe toujours, mais c'est une terrasse qui n'a rien de particulier, nuance le membre indirect de la famille. Il ne reste d'ailleurs plus rien à lui à l'intérieur. Mais l'extérieur n'a pas changé depuis. »
Ernest Mouchez vit là avec sa famille et fait un don à la commune « pour améliorer la rue qui porte son nom actuellement », continue Jean-Claude Ciret. Seul témoignage aujourd'hui de se sa présence ici, à Wissous. La plaque en sera un second. « Oui, nous sommes fiers », confie le descendant. « Notre association a pour mission de faire durer le souvenir des personnalités de la ville », complète le responsable de l'association, qui précise qu'aujourd'hui sont attendus des représentants de la Marine nationale, de l'Observatoire de Paris, de l'Académie des sciences, de la Société nationale de sauvetage en mer. En France, l'amiral aura laissé aussi des traces avec des rues à son nom et même un bateau qui a d'ailleurs transporté le maréchal Pétain jusqu'à sa prison de l'île d'Yeu, après sa condamnation en 1945. En France et même plus loin encore, dans d'autres cieux, puisque son nom a été donné à un cratère lunaire.
Le Parisien
en présence de 4 adjoints
http://paris-saclay.com/communaute-paris-saclay-lance-magazine/
Ordre du Jour du Conseil Communautaire du 29 juin 2016
Sujets abordés : Plan Local d'Urbanisme (équipements, transports, déchets, eau, assainissement, inondation, logements, ZAC, pollutions, commerces, ravalement des façades, publicité, préserver les espaces agricoles et les zones naturelles), Périmètre Régional d'Intervention Foncière (plaine de Montjean), Pavillon du gardine, Legs Dhommée (résidence pour personnes agées), Accueil Collectif de Mineurs dans l'Espace Château Gaillard, l'Orangerie; Circulation quartier Montjean, Réhabilitation du centre ancien, la gare de Wissous et Orlyval
Débat avec le public.
Le diaporama est disponible en cliquant ici.
Venez nombreux
A projet d’exception, règles d’exception. Un décret du 17 juin 2016 aménage les règles de compétence de juridiction pour les litiges liés à l’indemnisation des « victimes » du Grand Paris.
Afin d’éviter d’éparpiller le contentieux sur plusieurs départements – avec des solutions éventuellement divergentes à la clé -, la juridiction de l’expropriation près le tribunal de grande instance de Paris se voit confier par un décret du 17 juin l’ensemble des procédures liées à la réalisation du réseau de transport public du Grand Paris.
C’est ainsi à Paris que seront tranchés les litiges liés :
– à la fixation des indemnités réparant les préjudices résultant de l’expropriation ou causés par l’établissement de servitudes en tréfonds,
– au droit de délaissement,
– à l’emprise d’un bien partiellement exproprié,
– à toutes difficultés d’exécution de ces jugements,
– ainsi qu’aux procédures liées à la réalisation des infrastructures de transport lorsque la Société du Grand Paris est maître d’ouvrage.
Vianney Elzière rejoint la Société du Grand Paris en tant que directeur du projet "Ligne 18" dans le cadre du chantier de réalisation du Grand Paris Express.
Depuis 2009, il était directeur de l’immobilier, de la sécurité et des affaires générales de SFR, où il a dirigé le projet du Campus à Saint-Denis. Il est également auditeur de l’institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ - 26è session). Nommé directeur de projet pour la ligne 18 du Grand Paris Express, il succède à Brigitte Grégoire qui assurait cette mission depuis 2010.
Pour mémoire, la ligne 18 reliera les gares Aéroport d’Orly et Versailles-Chantier. Elle desservira 10 gares situées sur 14 communes et 4 départements. "3 mois après le choix des maîtres d’œuvre et des architectes de la ligne 18 du Grand Paris Express, le projet poursuit sur sa lancée avec l’élaboration de l’avant-projet qui durera jusqu’au printemps 2017 puis les travaux de génie civil qui démarreront sur cette ligne majeure du métro du Grand Paris", indique Philippe Yvin, président du directoire de la SGP.
La décision 05-D-58 du 3 novembre 2005 que le Conseil de la concurrence a rendu, sanctionne le comportement de la Lyonnaise des Eaux et celui du Syndicat des eaux d'Ile-de-France (Sedif) : condamnation de la Lyonnaise des Eaux à 400 000 euros et 100 000 euros le Sedif
Le comportement de la Lyonnaise des Eaux illustre, de façon concrète et éclairante, par quels moyens un opérateur en monopole de fait sur la fourniture de l'eau, a obtenu d'être choisi par un syndicat comme délégataire du service de distribution de l'eau.
La Lyonnaise des Eaux a offert au Syndicat du nord-est de l'Essonne (NEE), un prix de vente en gros de l'eau -en cas de fourniture seule- supérieur de 17 % au prix consenti dans sa proposition globale « fourniture + distribution ». Cette pratique de couplage visait manifestement à handicaper toute offre concurrente sur la partie distribution, puisqu'elle permettait à La Lyonnaise de se réserver de manière discriminatoire un prix inférieur à celui de son offre dissociée de vente en gros.
Le comportement du Syndicat des eaux d'Ile-de-France montre, par ailleurs, comment un opérateur en monopole de fait sur la fourniture de l'eau, est intervenu pour empêcher toute ouverture, même très ponctuelle, du marché de l'eau en gros. Ce syndicat est intervenu afin de peser sur la finalisation d'un contrat de fourniture d'eau entre l'un de ses principaux clients, la Semmaris (société gérant le Marché d'intérêt national de Rungis) et son concurrent, la Société anonyme de gestion des eaux de Paris (Sagep), qui disposait d'eau en gros livrable au MIN de Rungis à un prix plus faible de 22,5 %.
> Décision n° 05-D-58 du 3 novembre 2005 relative à des pratiques relevées dans le secteur de l'eau potable en Ile-de-France
> Voir arrêt de la cour d'appel de Paris du 26 septembre 2006
> Voir arrêt de la Cour de cassation du 20 novembre 2007
avec 4 comédiennes wissoussiennes Claude, Elianka, Marine et Pascale