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10 juillet 2014 4 10 /07 /juillet /2014 16:33

Invité JL Touly sur le conflit de la SNCM

TF1-il y a 9 heures
La reprise du travail a été votée à la SNCM mais la crise n'est pas terminée. Dans LCI Soir, Jean-Luc Touly, co-auteur du livre "Syndicats : corruption, dérives, trahisons" chez First  estime qu'il y a une "surenchère" avec des répercussions sur la Corse et que c'est "l'intérêt général qui devrait primer".
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9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 09:19

 PARIS, 8 juil 2014 (AFP) - La mission de préfiguration de la métropole du Grand Paris a officiellement débuté ses travaux mardi et vise toujours le 1er janvier 2016 pour la création effective de cette nouvelle collectivité.

Le conseil des élus, qui compte 226 membres, s'est réuni sous la coprésidence du préfet de région Jean Daubigny et de Daniel Guiraud (PS), président de Paris Métropole, une semaine tout juste après que cette association d'élus se soit décidée à entrer dans le jeu.

"Ce matin, l'ambiance était sérieuse, tout le monde a la volonté d'aboutir mais tout le monde n'a pas la même vision de la métropole", a déclaré M. Guiraud, lors d'une conférence de presse.

De fait siègent dans ce conseil des élus aux conceptions différentes si ce n'est divergentes de la future métropole comme la maire PS de Paris Anne Hidalgo, une partie de son opposition municipale comme Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), le président de l'Ile-de-France Jean-Paul Huchon (PS), le président des Hauts-de-Seine Patrick Devedjian (UMP), ou bien encore des députés et sénateurs, certains ayant oeuvré à sa naissance parlementaire et d'autres l'ayant combattue.

Le calendrier de travail est chargé: un premier rapport doit être présenté aux élus le 26 septembre prochain sur la réécriture de l'article 12 de la loi MAPTAM créant la métropole du Grand Paris, maintenant que le gouvernement a donné son feu vert pour l'amender à l'automne.

Les 46 communes limitrophes des départements de petite couronne qui formeront avec Paris la future Métropole voient leur délai de réflexion prolongé du 30 septembre au 15 novembre, avant de se décider à entrer ou non dans la métropole. "Ce n'est pas anodin: ces 46 communes représentent un million d'habitants et peuvent donc faire passer la Métropole de 6,5 à 7,5 millions d'habitants" sur les 12 que compte la région francilienne, a souligné M. Guiraud.

"La délimitation (du périmètre définitif de la Métropole) doit être fixée avant le 31 décembre 2015, a rappelé le préfet François Lucas, directeur de la mission de préfiguration, à la tête d'une équipe de 15 spécialistes (agents des collectivités et de l'État).

L'autre rapport épineux, qui doit être présenté aux élus pour validation en décembre puis rendu au gouvernement, porte sur les "conditions juridiques et budgétaires de la création de la métropole". Autant dire que la boîte de Pandore de la fiscalité locale et de sa répartition va devoir être ouverte car les élus revendiquent une autonomie juridique et financière des territoires qui composeront la métropoles.

Autre difficulté, la mission devra travailler sans connaître tout à fait le devenir des départements: la loi MAPTAM n'en disait rien, le gouvernement a depuis annoncé leur disparition pour 2020.

Malgré ce parcours d'obstacles, le préfet Daubigny reste confiant. Réaliste le 1er janvier 2016 ? "C'est la loi !"

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9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 09:16
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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 13:52

La-Lettre-du-Maire-juillet-2014.jpg

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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 11:29

Le thème de l'émission Carrément Brunet du 7 juillet est lié à l'ouverture par le Gouvernement de la Conférence sociale Medef Organisations syndicales

 

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 08:32

Cliquez ici  pour télécharger le compte rendu du Conseil du 23 juin 2014.

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 15:08

Prévention des risques  

 

02/07/2014 • Par Bénédicte Rallu  

 

Le Service central de prévention de la corruption (SCPC) fait 30 propositions pour réduire le risque de manquement à la probité dans le secteur public local, dans son rapport annuel présenté le 27 juin, Limitation du cumul de mandats, amélioration de la transparence et de la traçabilité des processus décisionnels, réorganisations, accentuation des contrôles figurent dans la liste.

 

La corruption reste un phénomène marginal (1). En consacrant un chapitre entier au secteur public local, le rapport annuel du Service central de prévention de la corruption n’a « pas pour objectif de jeter le discrédit » sur le monde territorial, avertit d’entrée le service, chargé de surveiller l’état de la corruption en France.
Son but est de suggérer « un corpus de mesures concrètes propres à rétablir les conditions de la confiance des citoyens en leurs représentants ». Car la corruption, entendue ici au sens large, existe. Plus particulièrement dans la commande publique et en urbanisme, mais ces secteurs ne sont pas les seules zones à risques.

Un mandat local, renouvelable une fois - Pour limiter le risque de corruption, de favoritisme, de prise illégale d’intérêt, de trafic d’influence, de concussion dans le secteur public local, le SCPC fait 30 propositions. Il préconise de limiter le cumul de tous les mandats locaux. Cette mesure contrecarrerait la constitution de fiefs électoraux.
La loi votée le 14 février 2014 (2) se contente de limiter le cumul « vertical » entre mandat parlementaire et fonction exécutive locale. Un maire ne devrait pas, selon le Service central, pouvoir présider un EPCI par exemple. Une limitation dans le temps à deux mandats successifs empêcherait « la mise en place de réseaux d’intérêts croisés, favorable à la commission d’atteinte à la probité ».

Déclarations pour tous - Aujourd’hui la très grande majorité des élus locaux échappe à l’obligation de déclarer intérêts et patrimoine. La loi du 11 octobre 2013 sur la transparence de la vie publique (3) ne l’impose qu’au-delà de 20000 habitants pour les maires et les présidents d’EPCI à fiscalité propre et de 100000 habitants pour les adjoints aux maires ou vice-présidents d’EPCI titulaires d’une délégation de signature.
Or « de nombreux cas d’atteinte à la probité surviennent dans des collectivités ou EPCI de taille inférieure aux seuils définis par la loi du 11 octobre 2013 », relève le SCPC. Il préconise donc d’étendre ces obligations à l’ensemble des maires, de leurs adjoints, des présidents d’EPCI, de leurs vice-présidents mais aussi aux directeurs généraux et directeurs généraux adjoints qui n’y sont pas encore assujettis.

Agir avec transparence et assurer la publicité - Dans la plupart de ses propositions de réforme de la gouvernance ou de la gestion locale, le SCPC recommande d’améliorer la transparence et la traçabilité des procédures et des prises de décisions.

Réunir les assemblées délibérantes au moins une fois tous les deux mois (notamment dans les communes de plus de 3500 habitants), rédiger et rendre public dans les 15 jours procès-verbaux et comptes-rendus de réunions de bureau et commissions émanant de l’assemblée délibérante, garantir l’accès effectifs des conseillers aux pièces et documents relatifs aux marchés et contrats en temps utile avant les réunions de l’assemblée délibérantes, autant de mesures qui y concourent.

Les collectivités territoriales peuvent aussi agir sur les recrutements pour éviter le clientélisme en publiant suffisamment en amont les offres.
Dans la commande publique grâce à l’emploi de logiciels de gestion de marchés, à la publicité des réunions de commissions d’appels d’offres, à la constitution de rapports de négociation, au contrôle de l’exécution des contrats.
En urbanisme ou pour la gestion domaniale, le SCPC préconise une obligation de publicité de l’identité des personnes concernées par les modifications d’un zonage dans le plan local d’urbanisme, des biens à vendre ou à acheter ou encore d’imposer la règle du déport en cas de conflits d’intérêts.

Améliorer les méthodes de travail - En faisant évoluer les méthodes de travail, les collectivités territoriales peuvent diminuer le risque de corruption. Le SCPC encourage l’élaboration de chartes de déontologie de portée générale (au niveau national), mais surtout locales et spécifiques pour les élus et les fonctionnaires en charge de certaines missions (l’achat public par exemple) qui soient opposables et précises (détaillant bonnes et mauvaises pratiques).
Avec la formation des élus et des agents territoriaux aux questions de probité, ces chartes contribuent à une meilleure prise de conscience et appréciation du risque. Le SCPC pousse aussi à développer des outils de contrôle et d’audit interne et externe et à cartographier régulièrement les risques.

Conditionner l’éligibilité aux seuls titulaires d’un casier judiciaire vierge, clarifier les responsabilités et donc autoriser les délégations de direction générale entre chef de l’exécutif et directeurs généraux des services figurent également parmi les propositions du SCPC. Bien des mesures ne nécessitent pas l’intervention du législateur, charge aux collectivités de suivre ces principes de prévention de la corruption.

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 11:25

http://www.aev-iledefrance.fr/

http://www.aev-iledefrance.fr/les-missions/amenager-le-territoire/les-perimetres-regionaux-d-intervention-fonciere

Outil d’intérêt majeur, le PRIF est un engagement partenarial explicite entre une commune, l’AEV et le Conseil régional afin de pérenniser la vocation forestière, naturelle ou agricole d’un site délimité. C’est donc l’expression d’une décision politique concertée, permettant à la Région Île-de-France de mettre en œuvre une démarche et des actions de préservation et de mise en valeur des espaces ouverts et des paysages.

-  La commune s’attache à faire évoluer son Plan local d’urbanisme en cohérence avec la destination forestière, naturelle ou agricole du PRIF. De plus, elle veille à faire appliquer son document d’urbanisme de façon à éviter le mitage et les usages contraires aux objectifs de protection et de mise en valeur durable.
-  L’AEV s’engage à préserver la biodiversité, les qualités écologiques, environnementales et paysagères du PRIF, à aménager et ouvrir ou public les espaces qui s’y prêtent et à maintenir les terres agricoles en culture. 
-  Le Conseil régional, quant à lui, veille à intégrer les PRIF dans le cadre du système régional des espaces ouverts corrélés à la ville dense, fidèle à ses orientations en faveur de l’agriculture périurbaine et sa politique de maintien de la biodiversité.

 

Un PRIF confère de la lisibilité au territoire et permet à la collectivité de protéger efficacement ces espaces en renforçant les protections règlementaires en place en matière d’espaces verts :

-  les documents d’urbanisme tels que le Schéma directeur de la Région Île-de-France (SDRIF), le schéma de cohérence territorial (SCOT), le plan local d’urbanisme (PLU) ; 
-  les protections mises en place par la Région : Parc naturel régional (PNR), Réserve naturelle régionale (RNR) ;
-  les protections mises en place par le département : Espace naturel sensible (ENS), Plan départemental des itinéraires de promenades et randonnées (PDIPR), Périmètre de protection des espaces agricoles naturels périurbains (PAEN) ;
-  les protections mises en place par l’Etat : sites classés, arrêtés préfectoraux de protection de biotope (APPB), Réserves naturelles nationales (RNN).

Aujourd’hui, l’AEV gère pour le compte de la Région 54 PRIF, représentant un total de 34 900 ha, parmi lesquels une majorité de forêts, mais également des espaces naturels agricoles, des zones humides ou encore des sites à forte valeur écologique. Ce patrimoine francilien est à la fois riche et varié, allant du vaste massif forestier de Rougeau et de Bréviande (2000 hectares) à des concentrés de biodiversité comme la Réserve naturelle régionale du Marais de Stors.

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 10:07

http://www.noiseineu.eu/fr/25/subpage

La réalisation des cartes stratégiques de bruit exigées par la directive européenne 2002/49/CE a permis d’initier une dynamique de prise en compte de l'environnement sonore par les autorités et d'information du public sur le sujet.

Certaines collectivités territoriales ont également favorisé le déploiement de réseaux de mesure du bruit (Madrid, Bruxelles, Athènes, Grand Lyon, Lille, Paris et région Ile-de-France...) pour aider les acteurs à disposer d’informations fiables sur les niveaux sonores et orienter ainsi au mieux les politiques publiques de lutte contre le bruit. Etablie en complément de la cartographie et plus fidèle à la réalité du bruit perçu, la mesure permet d’affiner le diagnostic, d'apporter de l'information sur les variations temporelles du bruit et d'identifier les événements particuliers de type klaxons, passages d’avions, de trains ou de véhicules motorisés bruyants.

Néanmoins, les informations délivrées sur le bruit que ce soit sous la forme des cartes stratégiques de bruit ou sous la forme de résultats de mesures restent à ce jour difficiles à appréhender et à comprendre pour des non-spécialistes, en raison des indicateurs utilisés (Lden, Ln, LAeq, LA10, LA90, NA, LAmax… pour n’en citer que quelques-uns) qui sont multiples, compliqués à expliquer et relativement éloignés du ressenti des populations. Qui plus est, l'unité utilisée par ces indicateurs, à savoir le décibel, présente l'inconvénient de ne pas se manipuler aisément, l'addition de deux niveaux sonores exprimés en décibels n'étant pas arithmétique mais logarithmique. Ainsi 60 + 60 dB ne donne pas 120 dB mais 63 dB...

Toutes ces raisons rendent encore compliquée l'appropriation de la problématique du bruit par les autorités et le grand public.

Une enquête auprès de 800 personnes a été réalisée au démarrage du projet Harmonica afin d'évaluer l'état de la connaissance et les attentes du grand public en matière d'information sur l'environnement sonore. Les résultats obtenus sont venus conforter le fait que la population a du mal à s'y retrouver avec l'information diffusée jusqu'à présent sur le bruit. Ainsi l'enquête confirme que les connaissances en acoustique des répondants sont très parcellaires et que ceux-ci ont du mal à associer des niveaux de bruit aux situations d'exposition de la vie quotidienne. Il ressort également des résultats que le public juge qu'une information sur les pics de bruit qui surviennent au cours de la journée offrirait une bonne complémentarité à la documentation du niveau sonore.

Il devenait donc indispensable de proposer une information plus facile à appréhender et plus proche de la réalité des nuisances sonores telles qu'elles peuvent être ressenties par les riverains.

Telle a été l'ambition qui a guidé les travaux de construction de l'indice Harmonica.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 00:41

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