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1 octobre 2013 2 01 /10 /octobre /2013 09:04

 

Jérôme Guedj député de la circonscription (en remplacement de François Lamy ministre) et président du Conseil Général de l’Essonne avait convié la population de Wissous dans une arrière salle d’un café de la commune le mardi 24 septembre dernier pour présenter son action de parlementaire.

 

Seulement 8 personnes étaient présentes en comptant le maire de Wissous arrivé en cours de réunion. C’était le seul membre du conseil municipal de Wissous qui avait daigné se déplacer pour accueillir le député et président du Conseil Général de l’Essonne.

Quelques questions sur des problèmes locaux ont été posées :

L’une concernait le Pôle d’Orly qui jusqu’aux dernières élections cantonales associait les associations à ses travaux. Pendant 2 ans cette structure de concertation interdépartementale (91 et 94) a cessé de fonctionner suite semble t il à des différends entre les nouveaux responsables des Conseils Généraux. L’activité du Pôle serait repartie récemment mais en excluant les associations. Le président du Conseil Général du 91 a semblé découvrir cette exclusion.

Suite à des questions concernant les futures infrastructures ferroviaires impactant Wissous, le député a confirmé que la partie de la ligne verte Massy/Orly du Grand Paris passera en aérien sur la commune sans s’y arrêter. Il a donné aussi à entendre que la future ligne TGV en site propre Massy/Valenton ne serait pas forcément enterrée.

Pour clore le débat il a déclaré que Wissous n’était pas assez important pour avoir un arrêt du métro et que pour les nuisances, c’est l’intérêt général qui prime et pas celui de la population de Wissous.

La commune sera donc une fois de plus sacrifiée sur l’autel du soi disant intérêt général et nous constatons qu’il ne faut pas compter sur les édiles locaux pour défendre les intérêts des habitants de Wissous. Devant de telles déclarations le maire de la commune est resté muet.

JC Ciret

Président de l'Apepaw 

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1 octobre 2013 2 01 /10 /octobre /2013 08:14

Chaque année, la France dépense 26 milliards d'euros pour former ses salariés et ses chômeurs. Mais une partie de ces sommes sont gaspillées voire détournées. En immersion durant neuf mois dans le milieu de la formation professionnelle, le journaliste Benoît Bringer a mis au jour de nombreuses escroqueries. Enquête sur un dispositif contesté par les experts et par la Cour des Comptes

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 08:35
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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 08:13

http://lexpansion.lexpress.fr/economie/la-corruption-des-syndicats-de-profite-pas-qu-aux-elus-syndicaux_403541.html

Dans "Syndicats Corruption, dérives, trahisons", Roger Lenglet et Jean-Luc Touly dressent un tableau noir des petites et grandes turpitudes syndicales. Des dérives qui n'épargnent aucune organisation. Les auteurs répondront à vos questions le vendredi 27 septembre, à partir de 14h30.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/economie/tchat-les-droles-de-pratiques-des-syndicats_1285680.html#UwzWUE1am0iph4fQ.99

Les drôles de pratiques des syndicats
Posez vos questions aux auteurs du livre "Syndicats. Corruption, dérives, trahisons"
2013-09-27 14:30:00
Dans "Syndicats Corruption, dérives, trahisons", le journaliste Roger Lenglet et le juge prud'homal Jean-Luc Touly dressent un tableau noir des petites et grandes turpitudes syndicales. Des dérives qui n'épargnent aucune organisation, souvent sous le regard complice du patronat. Au risque de porter un coup fatal au syndicalisme. Les auteurs répondront à vos questions le vendredi 27 septembre, à partir de 14h30.
Intervenant :
Roger Lenglet et Jean-Luc Touly
Le journaliste Roger Lenglet et le juge prud'homal Jean-Luc Touly sont les auteurs du livre "Syndicats. Corruption, dérives, trahisons".
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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 23:12

Après L'Express, BFM TV, RTL, France Inter, Europe 1, France Info, LCI

Ce vendredi dans les Grandes Gueules à 11h25, Alain Marschall reçoit Jean-Luc Touly co-auteur de « Syndicats : corruption dérives et trahisons ».

Les Grandes gueules de ce vendredi : Karim Zéribi, député européen Europe Ecologie-Les Verts, Marie-Anne Soubré, avocate et Franck Tanguy, conseiller en investissements.

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 22:53
L'Express de cette semaine titre : Pourquoi les syndicats sont nuls. Etat des lieux du syndicalisme en France avec Jean-Luc Touly, militant associatif et juge prud'homal et auteur avec Roger Lenglet de Syndicats, corruption, dérives, trahisons, chez First.

                                                      

© First

http://www.franceinfo.fr/societe/votre-france-info/les-syndicats-servent-ils-a-quelque-chose-1155693-2013-09-26

L'enquête de Roger Lenglet et Jean-Luc Touly a duré trois ans. Elle a montré, grâce aux témoignages de syndicalistes actifs dans les différentes grandes entreprises publiques et privées, que le syndicalisme devenait inefficace et que le nombre de syndiqués et de cotisations baissaient, explique Jean-Luc Touly. "Trois à quatre pourcents des recettes des syndicats proviennent des cotisations des adhérents et le reste vient de l'Etat et des grandes entreprises."

Les syndicats devraient représenter un vrai levier, mais ce n'est pas le cas. "Il représente 7 à 8% de syndiqués pour l'ensemble des salariés et plus dans le public que dans le privé. Aujourd'hui, ils ont du avoir recours à des corruptions, des financements occultes à travers les comités d'entreprises, les institutions paritaires, le 1% logement, la formation professionnelle. Cela concerne les directions syndicales et pas les syndiqués de base."

Les syndicats français sont organisés soit en fédération professionnelle soit localement au niveau du département et des régions. Il y a des grandes zones d'ombre et de désert, notamment dans l'agroalimentaire, explique Jean-Luc Touly.

Un sujet tabou

"Depuis plus d'un siècle, il n'y a pas eu de mise à jour. Une Commission d'enquête parlementaire a été créée en 2011 et c'est la première fois qu'elle ne publiera pas son rapport. On voit que c'est un sujet tabou et l'on n'arrive pas à avoir la vérité."

Les largesses sont individuelles, mais vont aussi aux organisations syndicales. "Ce sont des centaines de millions d'euros qui ont été détournés. Les salariés voulant dénoncer cette corruption ont été harcelés. Certains ont gagné aux prud'hommes et d'autres se battent encore."

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 22:20

Wissous le 16 septembre 2013

 

Vous avez été sans doute nombreux à constater avec surprise et parfois énervement, à votre retour de vacances, que des modifications avaient été apportées pendant votre absence à la circulation dans Wissous. Cette surprise était d’autant plus compréhensible que les modifications n’avaient pas été annoncées ni fait l’objet d’une information et encore moins d’une concertation avec les riverains. Cette information aurait été d’autant plus nécessaire que les modifications étaient contraires au Plan Local de Déplacement étudié à grands frais pour la commune par un bureau d’étude hautement spécialisé. Ce plan était pourtant approuvé et largement promu par la municipalité.

L’APEPAW en son temps avait donné son avis et fait des observations sur ce plan mais naturellement sans être écoutée. Il est étonnant de constater que certaines d’entre elles sont reprises en catimini par la municipalité.

Nous allons énumérez les entorses parfois heureuses au Plan Local de Déplacement adopté.

  • La rue Ténine mise en sens unique inverse de celui prévu

  • Le sens unique de la rue Boussard n’a pas été inversé

  • La rue de la Division Leclerc mise en sens unique inverse de celui prévu

  • La partie de la rue située entre les rues Django Reinhardt et Thierry mise en sens unique inverse de celui prévu

  • La rue des Myosotis n’a pas été mise en sens unique

  • La rue Paul Doumer mise en sens unique inverse de celui prévu.

  • La partie de la rue de l’Amiral Mouchez située entre les rues Ténine et Général de Gressot mise en sens unique inverse de celui prévu. Celle située entre les rues Général de Gressot et Pelletier est en sens inverse et celle entre les rues Pelletier et G. Bigourdan restent en double sens.

Voila un nouvel exemple d’un dossier mal étudié entrainant un gaspillage des ressources de la commune et des impôts locaux. Il est malheureux que les associations ayant une vision globale des problèmes communaux soient systématiquement écartées de toute concertation par la municipalité actuelle.

 

Jean-Claude CIRET

 

Président de l’APEPAW

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 20:05

http://www.bfmtv.com/societe/syndicats-beaucoup-d-argent-part-poches-personnelles-610326.html

"Corruption, dérives et trahisons": le livre qui tire à boulets rouges sur les syndicats

"Syndicats, corruption, dérives, trahisons", l'énumération est cruelle. Le livre de Roger Lenglet et Jean-Luc Touly, qui paraîtra jeudi, n'épargne pas le monde syndical, en y dénonçant de nombreuses dérives. Après plus de trois années d’enquêtes au sein d'entreprises publiques comme privées, les deux journalistes ont mis au jour un "système mafieux", qu'ils ont décrit sur BFMTV mercredi midi.



Corruption et détournements

 

Roger Lenglet et Jean-Luc Touly rappellent que la dernière loi sur les syndicats date de 1884, et qu'en vertu de ce texte, ni les organisations syndicales ni les comités d’entreprise n’ont l'obligation de faire certifier leurs comptes. "Dans les grands comités d’entreprises comme la SNCF, la RATP, EDF ou Air France, on constate que des centaines de millions d’euros sont attribués chaque année aux comités d’entreprises; une grande partie est dévoyée et va malheureusement dans les fédérations syndicales des secteurs d’activités concernés", explique Jean-Luc Touly.

"Ça se joue sur des milliards, renchérit Roger Lenglet, si l'on regarde toutes les sources de financement, y compris le fait de siéger dans des organismes paritaires comme le 1% logement, la Sécurité sociale, la formation professionnelle. Beaucoup d’argent part dans des poches personnelles, à travers des systèmes de fausses facturations de rétrocommissions, ou tout simplement de fausses factures".

 

Harcèlement moral et licenciement abusif

 

Les deux journalistes rappellent que l’ancien numéro un de la CGT, Bernard Thibault, avait réussi à faire embaucher son épouse et ses enfants au sein du comité central de la SNCF.

Ils citent aussi le cas du prestataire de service chargé d’organiser l’arbre de noël du comité central de la SNCF: "Il avait été obligé de payer une publicité dans le journal de la fédération CGT des cheminots pour pourvoir avoir le marché".

Les deux journalistes ont réussi à recueillir de nombreux témoignages de l'intérieur, mais non sans peine, et dénoncent à propos "un véritable système de harcèlement moral et de licenciement". Ainsi, "le contrôleur de gestion a été licencié de façon abusive", selon eux, après les avoir informés.

Ils ajoutent aussi que de nombreux syndicalistes sont ulcérés par les pratiques internes et veulent faire bouger les choses.

 

Une "insulte" pour Laurent Berger

 

Quelques bonnes feuilles de cette enquête ont déjà été publiées dans L’Express cette semaine, titré en une "Pourquoi les syndicats sont nuls", sur un montage de photos de trois militants vus de dos et portant les logos de la CGT, de la CFDT et de FO.

La couverture a déjà fait réagir le numéro un de la CFDT, Laurent Berger. "La couverture de L'Express aujourd'hui est une insulte à l'action des militants de terrain et aux plus de 800.000 adhérents de la CFDT", affirme-t-il dans un tweet. "Les syndicats sont peut-être imparfaits mais ils ne sont pas nuls", a-t-il ajouté dans un autre tweet.

 



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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 10:00
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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 07:58

Une enquête publique sur la modification du Plan Local d’Urbanisme( encore une) concernant les terrains du Legs Dhommée et de l’imprimerie Lalande se déroule actuellement à Wissous depuis le 16 septembre. Elle se terminera le 15 octobre. L’APEPAW a consulté de dossier en mairie et a préparé les observations ci-jointes.

 

L’APEPAW est très attentive aux projets concernant les bâtiments du Legs Dhommée dont la vocation est protégé normalement par le legs. Ces bâtiments du 19° siècle,  bien que laissés malheureusement à l’abandon depuis des décennies sont remarquables  et méritent d’être conservés dans leur aspect extérieur d’après les architectes du patrimoine.

 

Malgré les déclarations de Mme Hélène Mercher, l’APEPAW a constaté que dans aucun document et article de la municipalité il n’est question de la conservation de ces bâtiments. Le dossier de l’enquête publique ne fait que renforcer notre méfiance concernant les véritables intentions de la municipalité. C’est pourquoi nous vous invitons à aller consulter le dossier en mairie et  à demander dans le registre  que les projets d’urbanisation des terrains impliquant la destruction des bâtiments du legs Dhommée soient retirés.


Wissous le 17 semptebre 2013

OBSERVATIONS DE L’ASSOCIATION POUR L’ENVIRONNEMENT ET LE PATRIMOINE DE WISSOUS

DEPOSEES LORS DE L’ENQUÊTE PUBLIQUE RELATIVE A LA REVISION ALLEGEE DU PLU DE WISSOUS CONCERNANT LE SECTEUR LALANDE/LEGS DHOMMEE

Pour une raison de cohérence il faudrait que le chiffre de la population de Wissous figurant dans le dossier soit constant. Il varie d’une page à l’autre. Sur l’une il est de 5016 habitants, sur une autre de 5167, et sur une troisième de 5272. En septembre 2013 ces chiffres sont tous faux et la population de Wissous est certainement plus élevée que celles annoncées dans ce dossier.

Le nombre et le type des logements varient aussi dans le dossier.

Il est question au début d’une résidence intergénérationnelle de 20 logements et de 25 logements sociaux soit 45 logements en tout. Un peu plus loin la résidence comporte 15 logements de plein- pieds pour personnes âgées et 35 logements, pour familles, types T1, T2, T3 soit 50 logements en tout.

L’APEPAW demande que le nombre et la destination des différents logements soient précisés

 

Le dossier comporte les différentes implantations des bâtiments possibles. Elles supposent toutes la destruction totale des bâtiments existant en particulier de ceux du Legs Dhommée, legs qui stipule leur conservation pour : »en faire des maisons de retraites pour vieillards » suivant le document notarié.

De plus il a bien été spécifié lors du conseil municipal du 20 juin 2013 par Mme Hélène MERCHER adjointe au maire, que les deux bâtiments du legs Dhommée seraient conservés. (voir extrait du CR officiel du conseil municipal du 20 juin 2013 ci-joint). La délibération du 20 juin 2013 concernant cette modification du PLU n’indique nullement que des bâtiments existants seront conservés pour être réhabilités. L’article L147-5 du Code de l’Urbanisme prévoit la réhabilitation des bâtiments anciens situés dans les zones C du Plan d’Exposition au Bruit. On peut donc s’étonner que ni la délibération ni le dossier d’enquête publique ne fassent le moins du monde mention de cette réhabilitation.

L’APEPAW demande donc que ces implantations soient retirés du dossier, afin qu’il n’y ait aucune ambigüité et qu’il y soit fait mention de la réhabilitation des bâtiments du legs Dhommée. Accepter le dossier actuel d’enquête publique c’est accepter aussi les implantations qui y figurent.

Il n’est pas signalé dans le dossier que le terrain, sur lequel était implantée l’imprimerie Lalande, est pollué par des produits chimiques issus de l’activité de l’entreprise. Cette pollution a été longtemps alléguée par les municipalités successives pour ne rien faire sur ce terrain.

L’APEPAW considère que si ses observations ne sont pas retenues, le dossier de l’enquête publique ne sera pas sincère.

Jean-Claude CIRET

 

Président de l’APEPAW

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